vendredi 15 juin 2012

God of War Ghost of Sparta


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Ghost of Sparta est le 6e jeu de la série et le second sur PSP après le réussi Chains of Olympus. Chronologiquement, il se place entre les deux God of War PS2. On retrouve Kratos, toujours aussi chauve et vénèr. Cette fois, il part à la recherche de son frèrot, enlevé par les Dieux pour prévenir l'accomplissement d'une prophétie. Je ne vais pas faire un dessin, mais comme à chaque fois que l'on essaie de changer le cours du destin, ça a super bien marché... Bref il s'embarque dans une nouvelle série de massacres, toujours aussi riche en démembrements, décapitations et éventrements.
Comme avec son prédécesseur, on est immédiatement conquis par les graphismes. Encore plus beau et fin, avec une animation plus fluide, Ghost of Sparta est une merveille à regarder. Une fois la claque visuelle passée, on retrouve vite ses marques. Le jeu se déroule exactement comme on peut s'y attendre, enchaînant les combats vifs avec des interludes de plateforme et quelques puzzles. Les boss répondent à l'appel, fournissant des ennemis grandioses faute d'être coriaces. En fait on trébuche bien plus souvent sur des packs de mobs bien vicieux que sur ces moments de bravoure incarnés. En sus de ses lames iconiques, Kratos reçoit un combo lance et bouclier, façon hoplite, utilisés dans le jeu pour certains puzzles et monstres. Il récupère aussi une triplette de pouvoir spéciaux et ses lames sont dotées d'une magie volcanique, nécessaire pour ouvrir des portes particulières et combattre les adversaires en armure. On retrouve encore des QTEs, pour finir certains monstres et aussi lors des combats de boss. On retrouve aussi le système d'upgrade à acheter, d'oeil/cornes/griffes à collectionner, etc. Tout les attributs d'un God of War sont là, conformément au cahier des charges.
En fait ce Ghost of Sparta est un peu comme la blanquette de Maman. On connait la recette par coeur, on est jamais surpris, mais c'est quand même délicieux. En comme la blanquette de Maman, quand c'est fini, on en veut encore...

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